La Vie (site web)
jeudi 16 janvier 2025 3475 words

Le cœur brisé d’Hanna Massad, pasteur baptiste de Gaza

>> Accueil Rechercher Se déconnecter Abonné MME NUMEN SERVICES SCE CISION [email protected] N° abonné : J3934102 Offre papier Premium Echéance 17 décembre 2025 Je me réabonne Accéder au kiosque numérique Accéder à mon espace abonné Gérer mes newsletters Boutique Lire l’hebdo Faire un don Mon compte Actualité ACTUALITE Société Géopolitique Écologie Solidarité Sciences Christianisme CHRISTIANISME Témoignage Église Bible Idées IDÉES Édito Chronique Débat Histoire Modes de vie MODES DE VIE Spiritualité Sens et santé Psycho Famille Loisirs Culture CULTURE Cinéma Littérature Spectacles Exposition Musique Télévision Services Voyages Évènements Amis de La Vie Guide Saint Christophe Petites annonces Boutique À propos Qui sommes-nous ? Publicité Partenaires Contact Charte La Vie Le Monde Aide / FAQ Mentions légales Conditions générales d'utilisation Gestion des cookies Politique de confidentialité Pratique Boutique Abonnement Éditions papier Guide Saint-Christophe Voyages Service client Courrier des lecteurs Archives Petites annonces Plan du site Accueil / Actualité / Géopolitique Le cœur brisé d’Hanna Massad, pasteur baptiste de Gaza Proche-Orient Depuis les États-Unis où il a émigré, le pasteur continue de coordonner la petite Église évangélique de l’enclave palestinienne ravagée par la guerre. Un témoignage précieux, alors qu'une trêve vient d'être conclue à Gaza. Par Pierre Jova Publié le 16/01/2025 à 10h01, mis à jour le 16/01/2025 à 10h27 • Lecture 9 min. >/g) || []; for (let script of scripts) { articleContent.replace(script, ''); const scriptEl = document.createRange().createContextualFragment(script); document.querySelector('.content-art').append(scriptEl); } document.querySelector('.bloc-payant').remove(); document.querySelector('.content-art').innerHTML = articleContent;; if (result.showcase) { $('#header >.bandeau-abo').show(); } }); }).catch(function (error) { console.log(error.message); }) } $(window).on('load', function () { let subscribed = getCookie('subscribed'); let statut = 'Payant' if (typeof subscribed !== 'undefined' && subscribed === 'false' && 1 === 1) { statut = 'Teaser'; } else if (typeof subscribed === 'undefined' && 1 === 1) { statut = 'Teaser'; } tag.page.set({ name: 'le-coeur-brise-dhanna-massad-pasteur-baptiste-de-gaza', level2: rubrique.level2, chapter1: 'lv0f' === 'hc0f' ? ch1 : rubrique.chapter1, chapter2: ch2, customObject: { Pagetype: 'article', Population: typeof subscribed === 'undefined' ? 'Gratuit' : (subscribed === 'true' ? 'Premium' : 'Inscrit'), Statut_article: statut, consent: hasConsent(), titre: "le-coeur-brise-dhanna-massad-pasteur-baptiste-de-gaza".replaceAll('-', ' '), id_article: '97649', date_publication: '20250116', auteur: "Pierre Jova", }, }); tag.dispatch(); }); PARTAGE Je fais un don Je fais un don Article réservé aux abonnés Distributions de nourriture de la Mission chrétienne de Gaza du 30 décembre 2024. • CHRISTIAN MISSION TO GAZA Notre rencontre a lieu par la magie du téléphone portable. Des bureaux de la rédaction de La Vie à Paris, nous sommes transportés par vidéo dans un salon du Connecticut, aux États-Unis. L’hôte qui nous reçoit est Hanna Massad, un Palestinien d’une soixantaine d’années. « Frère Boutros ! », m’appelle-t-il chaleureusement (mon prénom en arabe). Notre interlocuteur a été le pasteur de l’Église baptiste de Gaza-ville de 1987 à 2007, avant d’émigrer : un ministère qu’il raconte dans son autobiographie le Pasteur de Gaza (2018), récemment traduite aux éditions Ampelos. Dirigeant la Mission chrétienne de Gaza, Hanna Massad coordonne encore les actions de sa communauté à distance, et avait l’habitude de se rendre régulièrement dans l’enclave palestinienne. « La dernière fois, c’était 10 jours avant le 7 octobre 2023 », nous confie-t-il, de cette voix à la fois lasse et ferme que l’on entend souvent en Palestine. Depuis, sa terre natale a été labourée par la guerre. « La maison à Gaza où j’ai grandi, où mes enfants sont nés, a été détruite. Mon père avait mis 10 ans à la construire. » Pourra-t-il y retourner ? Ce 15 janvier 2025, un cessez-le-feu – dont les termes étaient globalement conclus depuis mai 2024 – a été négocié entre Israël et le Hamas, sous les auspices des États-Unis, du Qatar et de l'Égypte. Les pressions exercées par Donald Trump sur le gouvernement israélien ne sont pas pour rien dans la signature de cette trêve. Les morts gazaouis oscilleraient entre 46 000, selon les Palestiniens, et 64 000, selon une récente étude de la revue médicale britannique The Lancet , dont plus de 14 500 enfants, d'après les Nations-Unies. Fils de la Nakba Hanna Massad est un fils de la Nakba (« catastrophe » en arabe), qui a conduit les Palestiniens à quitter leurs terres lors de la création de l’État hébreu en 1948. Sa mère a fui Jaffa, voisine de Tel-Aviv. La famille de son père, originaire de Gaza, a perdu 30 hectares de terres cultivables autour d’Ashkelon, antique cité biblique devenue Al-Majdal et vidée de ses habitants par la guerre israélo-arabe de 1948-1949. Ce conflit a créé la bande de Gaza telle que nous la connaissons : les troupes égyptiennes – occupant le territoire jusqu’en 1967 – se retranchèrent sur la côte, formant une langue de 6 à 12 kilomètres de large sur 41 de long, sur 362 km² (trois fois la superficie de Paris). Beaucoup de Palestiniens s’y réfugient, faisant bondir la population de 80 000 à 200 000 personnes. Avant le 7 Octobre, les Gazaouis étaient 2,1 millions, faisant de l’enclave une des zones les plus densément habitées du monde, avec 6 000 personnes par kilomètre carré. Gaza est le théâtre d’une présence chrétienne très ancienne. La Sainte Famille y aurait fait halte lors de son exil en Égypte : une église latine (catholique romaine) leur est dédiée. Saint Porphyre, évêque de la ville en 396, est enterré dans l’église grecque-orthodoxe du vieux Gaza, portant son nom. Dépendante du patriarcat de Jérusalem, l’Église grecque-orthodoxe est historiquement la première dénomination chrétienne en Israël et en Palestine. La Convention baptiste du Sud « Ma famille était des grecs-orthodoxes , relate Hanna Massad. À 15 ans, j’ai rencontré Jésus-Christ en fréquentant les baptistes. » En effet, des missionnaires de la Convention baptiste du Sud, principale Église protestante évangélique aux États-Unis, sont implantés à Gaza depuis 1954. Ils sont arrivés pour gérer un hôpital fondé par l’Église anglicane en 1882. Célébrant le culte dans la chapelle de l’établissement, ils en font le meilleur centre de soins de l’enclave, ouvrant une école d’infirmières et une maternité. Les baptistes inaugurent également une librairie chrétienne en 1969, deux ans après le début de l’occupation israélienne. En 1982, les missionnaires américains rendent l’hôpital de Gaza à l’Église anglicane, qui le rebaptise Al-Ahli Arab Hospital (l’Hôpital du peuple arabe). Leur prédication n’a pas été vaine : « En 1987, j’ai été ordonné pasteur pour la communauté baptiste dans la chapelle de l’hôpital », témoigne Hanna Massad, qui part se former au Collège biblique de Bethléem, académie évangélique palestinienne fondée en 1979. Il étudie ensuite au séminaire Fuller de Pasadena, en Californie, avant de rentrer à Gaza en 1999 pour diriger l’Église baptiste locale. Sa mission est alors dirigée vers la construction d’une église digne de ce nom. Elle est inaugurée en 2006 au cœur de Gaza-ville, sur six étages : deux pour les nouveaux locaux de la librairie, un pour abriter un centre de mammographie, un pour les activités communautaires, un pour loger des invités et le sixième comme salle de culte. Aux côtés d’Hanna Massad pour consacrer les lieux se tient un invité de marque : frère André. De son vrai nom Anne van der Bijl, ce célèbre missionnaire évangélique néerlandais est le fondateur de l’organisation Portes ouvertes, qui aide les chrétiens persécutés dans le monde et a partiellement subventionné la nouvelle librairie. « C’est bien de s’occuper du corps des gens , prêche-t-il lors de l’inauguration. C’est aussi bien de s’occuper de leur esprit en leur donnant de bons livres, mais c’est encore mieux de s’occuper de leur âme et de répandre l’Évangile de Jésus… de leur montrer Jésus ». Homme de paix, sans peur et sans préjugés, frère André s’est plusieurs fois rendu à Gaza pour dialoguer avec les dirigeants islamistes : en 1993, il rencontre le cheikh Yassine, chef du Hamas… et lui offre une bible ! Il fera de même avec son successeur Ismaïl Haniyeh, en 2009. Le drame de 2007 Entre-temps, la petite Église baptiste gazaouie est heurtée par un drame. « Nous avons expérimenté la persécution », explique Hanna Massad. Le 6 octobre 2007, le directeur de la librairie, Rami Khader Ayyad, est enlevé par des inconnus. Son corps est retrouvé le lendemain, un dimanche, avec plusieurs balles dans la tête. Il avait 32 ans, deux enfants et une femme enceinte. Le meurtre coïncide avec une vague d’attentats perpétrés contre les cafés Internet et des magasins de musique par les Glaives de la justice, un groupuscule salafiste dissident du Hamas. Quelques mois auparavant, la faction islamiste avait pris le contrôle de la bande de Gaza, au terme d’une brève guerre civile contre ses rivaux du Fatah. La mort de Rami Khader Ayyad en est-elle une conséquence ? Ismaïl Haniyeh condamne le meurtre, exprimant sa « grande tristesse » et vantant les « relations fortes entre chrétiens et musulmans, membres d’une même nation palestinienne. » Tout islamiste qu’il soit, le Hamas s’inscrit dans le nationalisme palestinien unitaire. Même le cruel Yahya Sinwar, cerveau du 7 Octobre, saluera l’identité « islamique et chrétienne » de la Palestine, dans un discours de 2021. « Le Hamas avait intérêt à montrer qu’il n’était pas hostile aux minorités », rappelle prudemment Hanna Massad. Son épouse travaillait alors avec Rami Khader Ayyad à la Société biblique palestinienne, dédiée à l’évangélisation. Toute tentative de convertir les musulmans au christianisme étant proscrite à Gaza, le libraire a chèrement payé le désir de partager sa foi avec ses semblables. Les assassins ont-ils bénéficié de complicités au sein du Hamas, pour envoyer un signal clair aux baptistes, ou agissaient-ils pour leur propre compte ? À l’époque, le custode franciscain de Terre sainte, Pierbattista Pizzaballa, actuel patriarche latin de Jérusalem, évoque dans la presse italienne un groupe « plus royaliste que le roi », indépendant des autorités gazaouies. Hanna Massad et sa femme, eux, préfèrent quitter Gaza. « Nous sommes partis avec nos deux filles et cinq autres familles, d’abord en Cisjordanie, puis en Jordanie, où j’ai été pasteur pendant six ans avant d’émigrer aux États-Unis. » La veuve de Rami Khader Ayyad donne naissance à une fille, appelée Sama (« ciel », « paradis », en arabe), en mémoire de son père. Un pasteur égyptien remplace Hanna Massad pour s’occuper de la communauté baptiste. Depuis, aucun autre crime visant les chrétiens n’a été signalé à Gaza. Le Collège biblique de Bethléem a ouvert une antenne dans l’enclave en 2011, et plusieurs dirigeants du Hamas ont mis leurs enfants à l’école de la paroisse latine. Toutefois, sur quelque 3 200 Gazaouis chrétiens en 2007, il n’en restait que 1 000 avant le 7 Octobre, dont 130 catholiques et entre 50 et 60 baptistes. Cet exode est-il causé par la férule du Hamas, comme l’affirment bruyamment les médias israéliens ? La faction islamiste n’est certes pas un modèle de tolérance. En 2020, elle avait demandé aux musulmans de ne pas participer aux célébrations de Noël, avant d’abroger cet ordre devant les réactions chrétiennes. Mais, selon un sondage publié cette même année par le Palestinian Center for Policy and Survey Research, si les chrétiens palestiniens émigrent, c’est d’abord pour des raisons économiques : 59 % indiquaient cette raison, dont 72 % à Gaza. Un chiffre évident, dans ce territoire assiégé comptant 45 % de chômeurs avant le 7 Octobre – et 80 % aujourd’hui. En outre, 62 % des Palestiniens chrétiens disaient redouter qu’Israël ne les expulse de leur patrie. L’enfer après le 7 Octobre Après le 7 Octobre, les chrétiens ont subi l’enfer comme les autres Gazaouis. « Mon cœur est brisé depuis ce jour qui n’aurait jamais dû arriver , soupire Hanna Massad. Même si nous avons subi la persécution, je refuse cette tuerie. On ne réglera pas le problème posé par le Hamas en massacrant des milliers d’enfants… » La plupart des chrétiens se réfugient dans les enceintes des paroisses grecque-orthodoxe et latine du vieux Gaza. Le 19 octobre 2023, l’église Saint-Porphyre est bombardée par l’armée israélienne, tuant plusieurs civils. « Ma tante faisait partie des victimes », nous apprend le pasteur, déplorant la mort d’une ancienne paroissienne, abritée par l’église latine : « Elham Farah avait 84 ans. Elle était professeur de musique et jouait du piano au culte. Le 12 novembre, elle s’est aventurée dehors pour vérifier l’état de sa maison. Arrivée sur place, un voisin l’a vu être touchée à la jambe par un sniper israélien. Elle s’est vidée de son sang, sans pouvoir être aidée, à cause des tireurs. » Son corps n’est récupéré qu’une dizaine de jours plus tard, pendant le bref cessez-le-feu conclu entre le Hamas et Israël. Le 16 décembre 2023, deux autres femmes sont abattues par des snipers israéliens dans l’enceinte de la paroisse latine. Quant à l’église baptiste, gravement endommagée par les combats, elle a servi de cantonnement à des soldats israéliens. Ils ont écrit sur les murs des slogans à la gloire de Golda Meir, la « dame de fer » à la tête de l’État hébreu de 1969 à 1974. « Nous avions une grande croix en bois d’olivier dans la salle de culte. Ils savaient sans doute où ils se trouvaient, au moins en entrant… », imagine Hanna Massad. Après plus d’un an de conflit, la goutte d’eau chrétienne dans Gaza est devenue microscopique. « Malheureusement, nous avons perdu 45 chrétiens », précisait à La Vie le curé de la paroisse latine, Gabriel Romanelli, en novembre 2024 : « Nous étions 1 017 avant la guerre, catholiques et orthodoxes confondus, donc plus de 4,4 % sont morts. C’est beaucoup… », déplorait le prêtre argentin, soulignant que 25 étaient décédés par manque de soins. Environ 300 ont réussi à quitter l’enclave, réduisant la communauté à moins de 700 âmes. « Je pense que certains chrétiens vont rester à Gaza, peut-être quelques centaines », évalue Hanna Massad, déterminé à les aider : « Après la guerre, nous aiderons les gens à reconstruire leurs vies, en créant des petites entreprises. Les besoins sont tellement grands ! » L'accord conclu ce 15 janvier prévoit d'abord un échange de prisonniers palestiniens contre 33 otages israéliens aux mains du Hamas, ainsi qu'une meilleure circulation de l'aide humanitaire, avant la libération des otages restants conditionnée au retrait des troupes israéliennes. Viendra ensuite, théoriquement, le temps de la reconstruction. Même réduite à peau de chagrin, l’Église baptiste de Gaza vit toujours. Chaque dimanche, son ancien pasteur célèbre un culte en ligne pour ses brebis, quand elles peuvent se connecter à Internet : « Je mets aussi les gens en lien avec un psychologue spécialiste des traumas. » Et, aussi souvent qu’elle le peut, la communauté distribue des repas dans la rue, à Gaza-ville. Le 30 décembre 2024, 1 100 civils ont reçu des plats chauds offerts sous une pluie battante. Le 14 janvier 2025, environ 1 000 personnes ont été nourries dans le nord de la bande de Gaza, et 800 personnes dans le sud. « Notre distribution s’appelle “le repas de la Cène” », sourit Hanna Massad, qui envoie l’argent à ses contacts sur place pour leur permettre d’acheter de la nourriture. « Les musulmans croient que les chrétiens d’Occident sont du côté d’Israël… Nous voulons essayer de refléter l’amour de Dieu au peuple de Gaza, et montrer aux musulmans que les chrétiens les aident. » Le sionisme chrétien Entre les États-Unis et Gaza, le pasteur perçoit douloureusement l’impact concret du sionisme chrétien, qui conduit des millions d’évangéliques américains à justifier la domination d’Israël au nom des prophétiques bibliques. « La Bible doit être lue avec le regard du Christ ! Si vous voulez parler d’Israël, du judaïsme, de la terre, il faut les regarder dans les yeux du Christ ! C’est triste d’utiliser la Bible pour oppresser des gens qui sont déjà oppressés… » En novembre 2024, Donald Trump a nommé Mike Huckabee comme prochain ambassadeur des États-Unis en Israël. Celui-ci est un adepte du sionisme chrétien. « Il n’y a pas vraiment de Palestiniens », a-t-il déclaré en 2008 : « Cela a été un outil politique pour essayer d’arracher des terres à Israël ». Un déni forgé par Golda Meir en son temps, repris par la droite israélienne. « Nous pleurons de ce qu’ils disent », commente sobrement Hanna Massad. « Nous sommes tous des êtres humains crées à l’image de Dieu. On a l’impression que, pour les chrétiens sionistes, les Palestiniens ne le sont pas. » Ironie du sort, Mike Huckabee est un ancien pasteur affilié à la Convention baptiste du Sud, celle-là même qui a fondé l’Église de Gaza… « Vous avez des frères et sœurs en Christ en Palestine. Voyons comment nous pouvons devenir ensemble des artisans de paix », aimerait lui dire le pasteur gazaoui, qui puise son inspiration dans le livre biblique du prophète Michée : « On t’a fait connaître ce qui est bien, ce que le Seigneur réclame de toi : rien d’autre que respecter le droit, aimer la fidélité, et t’appliquer à marcher avec ton Dieu. » A lire aussi : Gabriel Romanelli, curé de Gaza : « Priez, priez, priez pour la paix ! » A lire aussi : Le cardinal Pizzaballa et le pape François appellent à la paix à Gaza A lire aussi : Les chrétiens de Gaza vont-ils disparaître ? Notre sélection d'articles sur le même sujet Le cardinal Pizzaballa et le pape François appellent à la paix à Gaza Gabriel Romanelli, curé de Gaza : « Priez, priez, priez pour la paix ! » Les chrétiens de Gaza vont-ils disparaître ? Gaza Conflit entre Israël et le Hamas Palestine Évangéliques Hamas Conflit israélo-palestinien Par Pierre Jova Édition de la semaine Lire le magazine numérique Newsletters de La Vie "La Vie Quotidienne", "Le choix de La Vie", "Regards chrétiens", "C'est ma foi", "Bonnes nouvelles", "Les Chroniques de La Vie", "Exclus web" : recevez tous nos articles d'actualité directement dans votre boîte mail. S'inscrire Dans la même rubrique « Chaque personne mérite sa propre tombe » : sur le front ukrainien, ils donnent une sépulture aux soldats tués Sur les champs de bataille ukrainiens, de nombreux cadavres de soldats restent sans sépulture de longs… Avec Mike Huckabee, le sionisme chrétien érigé comme diplomatie Le nouvel ambassadeur des États-Unis à Jérusalem est une figure du conservatisme évangélique américain.… La vie bouleversée de Shlomo Mansour, plus vieil Israélien retenu en otage à Gaza Alors qu'un accord de cessez-le-feu a été négocié à Gaza le 16 janvier, Shlomo Mansour, reste, à 86… Qui sont les hommes et femmes clés de l’administration Trump II ? La future équipe choisie par le président élu comporte essentiellement des personnes qui lui sont d’une… Voir plus d'articles ? Actualités Le « stage kebab », symbole des difficultés des élèves de milieux défavorisés à décrocher un stage de troisième « Chaque personne mérite sa propre tombe » : sur le front ukrainien, ils donnent une sépulture aux soldats tués La vie bouleversée de Shlomo Mansour, plus vieil Israélien retenu en otage à Gaza Le cœur brisé d’Hanna Massad, pasteur baptiste de Gaza Qui sont les hommes et femmes clés de l’administration Trump II ? Olivier Faure, nouvel homme fort de la gauche ? Au Liban, les nominations de Joseph Aoun et Nawaf Salam mettent fin à la vacance du pouvoir Voir plus d'articles ? Christianisme Les Foyers de charité se dotent d’une nouvelle commission historique Nigeria, Soudan, Mali : l’Afrique subsaharienne, foyer de la persécution des chrétiens Diocèse de Fréjus-Toulon : après la démission de Dominique Rey, les enjeux de son successeur François Touvet Abus et violences sexuelles : « Les prêtres abuseurs exercent un chantage spirituel en employant de la manipulation » Affaire Abbé Pierre : un rapport révèle neuf nouveaux témoignages d'agression David Milliat : « Si Dieu est quelque part, il est dans cet élan de vie en moi, pas dans le ciel » Maxime Deurbergue : « Notre-Dame est vivante après avoir subi une atteinte très lourde » Voir plus d'articles ? Idées On s’en paie une tranche ? À la rencontre de l’oiseau inconnu En avant, calme et droit En surchauffe S’émerveiller comme des enfants Des dettes, la libération 2025, année mathématique ! Voir plus d'articles ? Ma Vie Lisez de la littérature ! Ils se sont reconvertis pour diriger un Ehpad Notre sélection littéraire de la semaine du 16 janvier Anne-Dauphine Julliand : « J’assume la souffrance » Jusepe de Ribera, peintre des passions des hommes, au Petit Palais Sorj Chalandon : « Ce film, c’est une manière de faire mon deuil » À la rencontre de l’oiseau inconnu Abonnez-vous à partir de 1€ le premier mois J'en profite × Rubriques Actualité Christianisme Idées Modes de vie Culture Services À propos Qui sommes-nous ? Publicité Partenaires Contact Charte La Vie Le Monde Aide / FAQ Mentions légales Conditions générales d'utilisation Gestion des cookies Politique de confidentialité Pratique Boutique S’abonner / Se désabonner Éditions papier Le Guide TV Guide Saint-Christophe Voyages Service client Courrier des lecteurs Archives Petites annonces Plan du site Sites du groupe Le Monde Courrier International Télérama Le Monde diplomatique Le Huffington Post Gestion des cookies - Tous droits réservés - La Vie 2020

This article appeared in La Vie (site web)